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Philorhum et whiskypsycola... tout un concept!

25 janvier 2011

Ma philosophie, ma ligne de vie: la contradiction

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Ma ligne de vie, ma philosophie, mon boulet devenu passion: la contradiction

Tout est contradiction...

De l'infime à l'infini,

Tout est contradiction.

Et c'est l'équilibre de tout.

Rien n'est absolu...

Sauf...

Sauf la contradiction.

Qui s'applique à tout.

Résolument à tout...

Le "mais" quoi qu'on pense ou fasse est partout...

Amusant...affolant?!

C'est irritant...mais j'adore ;-)

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25 janvier 2011

Soi

Soi...

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On peut être humble et modeste,

Et pourtant d’une force de caractère redoutable.

On peut être émotif à l’extrême, écorché vif même,

Et pourtant toujours l’ épaule sur qui se reposer.

On peut être sur de soi et savoir se protéger,

Et se revendiquer d’une sensibilité exacerbée.

On peut être convaincant plus que convaincu,

Et pourtant aimer échanger et partager.

On peut être désinvolte et nonchalant,

Et pourtant s’impliquer à fond et s’y appliquer.

On peut être horrible et repoussant

Et pourtant le plus charismatique amant            

On peut être enlisé dans la complexité,

Et se dévoiler en toute simplicité.

On peut être plein à la fois…

Et pourtant toujours rester soi…

8 juin 2010

Philorhum et wiskypsycola

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Philorhum ou une whiskypsycola, c'est tout un concept:

Des soirées thérapies agrémentées d'un chtit peu d'alcool en bonne compagnie.

En fait, si on y réfléchit, c'est ce dont les gens ont besoin:c'est de boire un verre entre amis et discuter, se lacher, se laisser aller, se confier, sans peur d'un jugement ou critiques, sans attendre de conseil, juste une écoute et un sourire en prime.

Sur la porte du bureau, ou plutôt du bureau-taverne: il serait inscrit: "oooh, toi mon ami, tu broies du noir, prends un verre et viens t'asseoir".

On entre dans un espace intime, pas trop éclairé qui inspire les confidentialités.

Il y aurait donc la therapie 3 rivieres,Damoiseau, 10 ans d'age,.....

Un mode de psychanalyse engageant et non rébarbatif pour les "amis" et non patients...

La thérapie, c'est une discussion autour d'un verre

Pour les plus gros soucis, ce serait un forfait en payant le taxi dans les honoraires+fiche médicale du médecin traitant attestant que "l'ami" ou patient n'est pas un alcoolique notoire au départ hein mdr

La salle d'attente...beh y en aurait pas, ce serait les quelques autres tables, pour le côté social et convivial, et pour ces "amis" en attente de consultation, ce sont des softs qui seraient servis.

Le rhum ou le whisky viendront ensuite.

Le secret professionnel et le souci de discrétion?

Bah il suffit de faire une chtite separation: oui ça devrait suffire; avec une table "vide" à côté, mais garnie de deux verres pour eviter le sentiment ecart/solitude et minimier la relation médecin/patient.

Il y avait juste un truc qui n'allait pas...dans le concept...

Il faut que je triche sur un truc...: mon verre à moi lol

Eh beh: eau, glaçon, citron vert..ça passe, ça ressemble, limite un sirop ou quoi pour l'aspect un peu brouillé de la mixture...

On peut également profiter, pour assurer l'ambiance amicale d'une taverne, de mettre un brin de musique du côté de la "salle d'attente" aménagée, et profiter ainsi de faire connaître de jeunes groupes encore inconnus...

"Ce sont les épreuves qui nous font avancer, et qui nous font nous rendre compte qu'on est passé à travers...il faut croire en nous, et

en soi"

"ll faut gouter à tous les p'tits bonheurs que la vie nous offre aussi infimes soient-ils...ils nous aident à grandir et s'affirmer, à aimer et être aimé"

Bah...psy/poète en plus...mmmh trop de diversité, faudra recadrer tout ça, ou faire des séances à themes lol

Affaire à suivre...mais pas mal l'idée non?

Soit.

8 juin 2010

Peau de chagrin

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Elle porte sur ses fragiles épaules pense-t-elle,une peau de chagrin bien trop lourde,

Négligeament jetée avec son dédain et sa nonchalence habituels.

Son regard est troublé par d'improbables pensées,

Qu'elle se gardera bien de prononcer...

Son appel est murmuré plus que vomi,

Aussi elle n'attire plus que les railleries...

Maudite soit-elle?

Non, la complaisance lui sussurre pourtant qu'elle a tort,

Mais elle se complait dans ses instincs de mort...

Un sourire, un regard, une accollade, une main tendue n'y pourront rien...

Elle se recouvrira à jamais de sa peau de chagrin.

7 juin 2010

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1 juin 2010

Misère

Misère

Qui a dit qu’on ne connaissait jamais réellement quelqu’un ???

C’est possible oui,

Au vu de ce dont on est capable soi-même

Et au su des tournants que la vie nous dévoile…

Et qu’elle ironie de se retrouver dans des tourments,

Lorsque votre attitude ne fait que tenter d’apaiser ceux des autres…

Aimer et souffrir sont semble-t-il liés,

D’autant plus si vous prenez garde à ne pas faire chier…

Totale incompréhension,

Semblants et non-dits,

La tolérance passe pour de la nonchalance,

Et la tendresse pour de la faiblesse…

On est telle une loque, pitoyable,

On était tout fier on se voit maintenant minable…

C’était le bonheur…

Qui cède sa place aux maux des cœurs…

Aime-moi simplement

Et prends soin de moi,

Sans me faire de mal inutile

Quand il n’y a pas lieu de m’en faire…

Putain que cela est injuste,

De faire souffrir à cause des regards d’autrui

Mais c’est encore pire d’avoir mal,

De par l’attitude même de son ami.

Et lorsque tout semble absolu

Et que seule une minute fait basculer des convictions

Oui, alors on se retrouve perdu…

En proie de nouveau à ses démons…

1 juin 2010

Voilà, voilà, voilà

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Voilà

Voilà, voilà, voilà,

Et voilà une fois de plus une fois de trop peut-être,

Je suis encore la proie de mon mal-être,

Si je puis m’exprimer ainsi,

Puisque je sais très bien qui je suis.

Voilà, voilà, voilà,

Fidèle à moi-même uniquement

Je resterai authentique dans le sens où je tairai mes protestations,

Ou ne les disséminerai que par bribes,

Histoires de voir si nous sommes toujours à l’unisson.

Voilà, voilà, voilà,

Cela devait arriver, par quelques fois déjà je t’ai averti,

Et pour seul réconfort tu m’as souri

J’en ai assez de me fatiguer à te prouver je ne sais quoi,

Qui en réalité, n’existe peut-être finalement pas ?

Voilà, voilà, voilà…

1 juin 2010

01H37

01h37

L’heure est venue de m’assoupir…

Mais je n’y compte pas…

Quitte même à lutter je resterai là,

Dormir, c’est un peu mourir…

Mes songes me ramènent trop vite à l’aube…

Aux contraintes qui se font trop vives,

Le temps n’a pas d’essence alors,

De nuit il passe à l’instant,

Déjà demain est apparu et je l’ai trop vite perdu…

Sans l’avoir vécu…

Alors que la pénombre se fait mienne comme une protection

De mes pensées, de mes doutes, de mes questions

Accro aux états d’âmes dépeints sans pudeur,

Je me retrouve dans ce monde nocturne qui libère

Tant les esprits que les coeurs…

.

Plénitude dans la solitude,

Complicité dans l’amitié,

Je resterai fidèle à ma nuit,

Tant qu’elle ne me nuit…

1 juin 2010

Chierie

Chierie

Parfois l’injustice te prend aux tripes,

Et tu sais que tu ne peux te rebeller…

Juste sourire et attendre que ça passe.

Seulement, parfois ça ne passe pas,

Et tu te retrouves seul, même au milieu d’une foule,

Même avec des amis,

Même avec ton amour.

Et que faut-il faire ?

Quand tu vois que tu n’es rien d’autre qu’un substitut

Quand personne ne vient lorsque tu appelles ?

Eh bien tu prends sur toi alors…

Et putain que le temps semble long

Lorsque tu es mal dans ta peau,

Et putain que le temps semble long,

Lorsque tu es mal dans ta peau…

Partir serait ma foi une bonne solution,

Mais cavaler en solitaire n’a rien d’attractif.

Donc, tu broies du noir encore un peu…

Tu t’enfonces plus profond, juste histoire de se sentir vivre par la douleur

Tu peux même chercher un exutoire factice,

Mais c’est d’une présence dont tu as besoin, une présence qui garderait le silence

Pour partager un peu ce bordel qui tape dans la tête,

Chierie, pourquoi quand c’est ton tour, ils se font tous absents ?

Et putain que le temps semble long

Lorsque tu es mal dans ta peau

Et putain que le temps semble long,

Lorsque tu es seul et mal dans ta peau…       

1 juin 2010

Essoufflement

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Essoufflement

Une ecchymose ironique...

C’est comme ça que je me sens,

Depuis que je sais…

Que je sais que ça ne sera jamais plus pareil

Que ce n’était déjà pas l’absolu

Alors pourquoi s’évertuer à s’obstiner ?

Je n’ai rien à ajouter,

Je n’ai rien à justifier,

Je n’ai rien à demander.

Rien à regretter, juste à oublier

Le vent ne semble souffler que dans un sens,

Et le juste retour des choses est inexistant…

Je ne sème que des poussières,

Alors à quoi bon ?

Autant rayonner de loin, loin de toi, même pour toi…

Je n’ai rien à ajouter

Je n’ai rien à justifier,

Je n’ai rien à demander

Rien à regretter, juste à t’oublier…

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